Ce travail n’étant pas adressé aux seuls berbéristes — qui n’en ont pas besoin — mais à tous ceux qui s’intéressent aux études de folklore ou à l’Afrique du Nord, je n’ai pas cru devoir adopter un système de transcription qui eût été rigoureusement scientifique, mais eût rebuté te lecteur peu familiarisé avec la phonétique compliquée des noms berbères et arabes. Je me suis donc décidé à adopter, pour les noms et les mots passés dans le domaine commun, la transcription courante, si défectueuse fût-elle parfois, et je me suis résigné, pour les autres, à réduire au minimum le nombre des caractères spéciaux, quitte à ne pas marquer la différence, comme il eût été nécessaire dans un ouvrage d’ordre plus technique, entre quelques consonnes de son assez voisin.
On retrouvera dans l’index la forme exacte des noms, transcrite en caractères arabes.